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MorphorapID 2, nouveau terminal d’identification mobile de chez Morpho
BiométrieIdentification des personnes et contrôle des documents d’identité sur le terrain
Fort de sa place de leader mondial sur le marché des solutions d’identité et de sécurité, le français Morpho vient de sortir aux USA son tout dernier lecteur biométrique : le MorphoRapID 2.
Ce terminal mobile sera utilisé par les policiers et les agents chargés des contrôles aux frontières, de l’immigration et de la sécurité dans les aéroports. D’un point de vue physique, le terminal est composé d’un capteur biométrique certifié par le FBI, d’une caméra haute résolution pour la reconnaissance faciale et de technologie permettant ainsi la lecture de documents d’identité comme le permis de conduire par exemple. L’avantage de ce type de matériel pour les agents de sécurité est d’avoir un système compact, qui permette d’effectuer des contrôles sur le terrain et d’identifier un individu de manière quasi instantanée.
En ce qui concerne l’utilisation même du MorphoRapID 2, quand une personne contrôlée pose son doigt sur le capteur, ses données biométriques sont transmises à un ABIS (Automated Biometric Identification System) et le résultat apparaît directement sur l’écran. De plus, pour aider ce lecteur mobile, le logiciel « Morpho Criminal Justice Suite » est intégré et lui permet ainsi d’effectuer plusieurs requêtes en même temps tout en comparant les empreintes révélées avec une liste de personnes stockée en mémoire. Enfin, autre possibilité importante, le MorphoRapID 2 permet d’effectuer le contrôle des papiers d’identité qu’il s’agisse du permis de conduire, des cartes d’identité ou passeports électroniques en comparant les données biométriques présents sur le document et celles de l’individu.
Plus simplement, ce bijou de technologie combine à la fois l’efficacité, les technologies novatrices de Morpho et la simplicité d’utilisation que peut offrir un smartphone. D’ailleurs il faut noter sa compatibilité avec les réseaux 4G. Afin de répondre à une demande toujours plus intense de certaines régions quant aux contrôles d’identité, le MorphoRapID 2 sera déployé en masse au Moyen-Orient, en Amérique Latine et en Afrique.
Amérique latine: les technologies biométriques Morpho contribuent à la sécurite bancaire
BiométrieLa sécurisation des données est un élément très important, voir incontournable aujourd’hui, dans un monde où l’informatique est devenu plus que présent et par conséquent soumis au vol ou fraude des hackers. Il en est de même pour les organismes financiers tels que les banques qui en cas de perte ou de vol de données bancaires pourraient avoir de grandes déconvenues aussi bien en terme d’image que sur le plan financier. De ce fait, que peut-on mettre en place pour se prémunir de ces menaces ?
La technologie qui semble être la plus adéquate est, bien évidemment, la biométrie. Pour reprendre l’exemple des banques, l’une des régions les plus actives sur ce marché est l’Amérique latine qui utilise depuis maintenant près de dix ans les solutions biométriques. D’ailleurs d’ici 2018, le taux de croissance annuel moyen devrait être de 23,7% pour la biométrie montrant ainsi la volonté de la région de vivre avec son temps tout en assurant sa sécurité avec les nouvelles technologies mises à leur disposition.
Comme on pouvait s’y attendre, le leader mondial de la sécurité biométrique, à savoir le français Morpho, n’est pas pour rien dans cette tendance. En effet, Morpho a fournit à une grande banque latino-américaine près de 7800 capteurs biométriques pour assurer la sécurité des données bancaires. Il faut noter que la société française a été la seule à répondre aux exigences de sécurité qui étaient l’authentification mutuelle, le chiffrement et la détection de faux doigts. Concrètement, la banque recueille les données biométriques en agence afin d’éviter les usurpations d’identité. De plus, Morpho a mis au point un logiciel en partenariat avec la banque pour équiper tous les postes dotés du capteur biométrique. Le capteur choisit n’est autre que le Morphosmart 1300 E2, un lecteur USB compact, fiable et ergonomique.
L’arrivée massive de solutions biométriques semble n’être plus qu’une question de temps…
Attentats de Paris : comment aider les autorités à contrôler les frontières?
BiométrieVendredi 13 Novembre, une date de plus à ajouter dans les tristes évènements qui ont touché la France en cette année 2015. Les pires attentats que la France n’ai jamais connu avec son lot de malheur que personne n’aimerait connaître. Face à cette attaque, cette déclaration de « guerre », mot fort employé par le Président de la République François Hollande, des décisions ont été prises, notamment celle d’un renforcement des contrôles aux frontières.
En effet, les frontières sont les premiers lieux de contrôle lorsque l’on veut entrer ou sortir d’un pays et par conséquent, où l’on peut identifier une personne. Aujourd’hui, nous pouvons dire sans trop nous avancer qu’il y a des défaillances lors de ces contrôles aux frontières de Schengen comme en témoigne ces invraisemblables allers-retours effectués par le jihadiste Abdelhamid Abaaoud au sein du continent Européen alors que ce dernier faisait l’objet, selon les médias, d’un mandat d’arrêt international. Autre exemple, celui de Samy Aminour, l’un des tireurs du Bataclan, il fut mis en examen en Octobre 2012 pour « association de malfaiteurs terroristes » et placé sous contrôle judiciaire. Problème, cela ne l’a pas empêché de se rendre en Syrie un an plus tard et de rentrer en France sans alerter les autorités…
Mais comment cela est il possible ? Etant donné que le contrôle aux frontières est quasi inexistant, les jihadistes utilisent régulièrement la méthode du « look-alike ». Le principe est simple, ils échangent leur passeport avec celui d’une personne qui n’est pas recherchée et ne touchent pas à la photo, le but étant de ressembler le plus possible à la photo existante et ainsi passer les frontières sans éveiller le moindre soupçon.
Employer la biométrie à l’échelle européenne serait une solution en adéquation avec les besoins que nécessitent un contrôle aux frontières. Une utilisation simple, rapide et une identification de manière certaine de l’individu. Les aéroports de Paris se sont équipés par exemple du système PARAFE du leader mondial de la sécurité biométrique, Idemia (ex.Safran Morpho). Ce système demande dans un premier temps le passeport biométrique de la personne puis dans un second de rentrer dans un sas et de s’identifier en apposant son doigt sur un lecteur biométrique. Si le système détecte un problème, les portes du sas restent fermées jusqu’à l’arrivée d’un contrôleur pour un contrôle plus poussé et une éventuelle alerte aux autorités.
La biométrie pour remplacer le passeport papier?
BiométriePour voyager dans le monde entier, passer les frontières sans encombre, rien ne peut remplacer le passeport devenu quasiment obligatoire si l’on veut changer de pays. Le passeport est aujourd’hui biométrique mais dans le futur peut-être pourrait-on ne plus avoir besoin de ce support papier pour laisser place uniquement à la biométrie ? C’est ce que l’on peut penser au regard des futurs tests que vont réaliser l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
En effet, ces deux pays de la zone océanique ont le projet de mettre en place un passeport dématérialisé, dans le Cloud. Ainsi, les habitants des deux pays pourront se déplacer de l’un à l’autre sans la nécessité d’avoir un passeport physique car leur identité sera vérifiée grâce à la biométrie. Force est de constater qu’il est toujours embêtant d’avoir sur soi ce document, il ne faut pas l’oublier, il y a la crainte de le perdre ou de se le faire dérober, il faut souvent faire la queue aux postes-frontières des aéroports alors que l’identification biométrique permettrait de résoudre ces problèmes et d’accélérer le traitement des données d’identification.
En 2012, la société française Morpho, leader sur le marché de la sécurité biométrique et filiale du groupe Safran, a mis en place dans les aéroports de Paris et Marseille notamment des SAS appelés PARAFE (Passage Automatisé Rapide Aux Frontières Extérieures) permettant aux voyageurs de passer plus rapidement aux frontières en deux étapes : présenter son passeport biométrique à une borne à l’extérieur du SAS puis à l’intérieur en posant son doigt sur un capteur biométrique.
Dernièrement, le Silicon Angle rapporte que l’Australie et la Nouvelle Zélande vont procéder à des essais pour l’instauration d’un « passeport cloud » où l’identification biométrique suffirait et remplacerait le passeport traditionnel. Si les tests s’avèrent concluants, nous pourrons assister par la suite à une généralisation du procédé sur l’ensemble du globe si toutefois les Etats trouvent un terrain d’entente sur des protocoles communs.
Google Play se met à la biométrie
BiométriePour l’anecdote, en 1989 sortait le film « Retour vers le futur 2 », une série devenue culte où l’un des héros Marty McFly quitte les années 80 pour un voyage vers le futur au bord de la mythique DeLorean pour rejoindre le 21 Octobre 2015. Les scénaristes de l’époque imaginaient qu’en 2015 les lacets des chaussures se feraient automatiquement, les skates voleraient, mais un autre point de cette fiction a rejoint la réalité….la biométrie !
En effet, la biométrie est belle et bien présente dans notre société et son expansion ne fait que commencer. Le contrôle d’accès, les passeports, les téléphones, les banques, tant de possibilités de voir l’utilisation de notre empreinte digitale pour s’identifier. Avec la montée en puissance des nouveaux Smartphones qui proposent pour une très grande majorité une technologie biométrique pour le déverrouillage du mobile, les entreprises voient un potentiel intéressant dans le paiement en ligne afin d’identifier l’acheteur rapidement et ainsi gagner du temps dans le processus de paiement.
Dernièrement, l’application Google Play Store a été mise à jour afin de permettre l’authentification par empreinte digitale disponible avec Android 6.0 Marshmallow. Bien évidemment, il faut que les applications sous Android acceptent ce type de reconnaissance comme c’est le cas de l’application Play Store. Au même titre que le système d’exploitation de chez Apple, les utilisateurs pourront valider leur paiement en ligne en posant leur doigt sur le capteur biométrique présent sur leur Smartphone. A l’apparition de la reconnaissance par empreinte digitale sur les téléphones, lancée par Apple avec le Touch ID, seul le déverrouillage de l’appareil pouvait être effectué mais aujourd’hui les possibilités qu’offre la biométrie sont multiples et nous pouvons penser que nous sommes qu’aux prémices de son exploitation.
Que l’on soit un pro-iOS ou un pro-Android, les deux systèmes s’appuient sur les technologies biométriques.