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La Suisse propose une formation sur la biométrie: un première en Europe.
BiométrieOn ne cesse de le répéter mais c’est bel et bien une réalité: la biométrie et les technologies qui l’accompagnent ont pris une place importante dans nos habitudes de consommation et dans notre manière de fonctionner. Déverrouiller son Smartphone ? Reconnaissance de l’empreinte digitale grâce à un capteur biométrique. Accéder à son bureau ? Des lecteurs biométriques à reconnaissance digitale ou faciale. Voyager ? Un passeport biométrique. Et cette liste est loin d’être exhaustive, cela permet de démontrer que les technologies biométriques interviennent régulièrement dans nos vies de tous les jours.
La biométrie fascine autant qu’elle peut intriguer. Mais il y a un manque d’information autour de ce domaine de plus en plus sollicité. C’est la raison pour laquelle la formation universitaire à distance UniDistance (Suisse) et le centre de recherche Idiap ont décidé de proposer, à partir d’Avril 2017, une formation continue sur la biométrie. Il s’agit là d’une première en Suisse et même en Europe.
Cette formation a pour objectif de permettre au grand public de mieux appréhender la biométrie et d’acquérir toutes les connaissances nécessaires sur les différentes technologies, les normes, la sécurité, la protection des données et tous les aspects légaux notamment. Cet enseignement s’effectue en ligne et offre par conséquent la possibilité d’y accéder à tout moment et de n’importe où dans le monde. Le Certificate of Advanced Studies and Privacy (CAS Biometrics & Privacy) s’adresse à un large public qui va de l’entreprise au simple citoyen en passant par les services de polices ou des douanes.
L’enseignement proposé est par ailleurs de grande qualité puisqu’il est assuré par des formateurs qui font partie des meilleurs spécialistes internationaux. C’est le cas notamment de Christophe Champod, professeur en Sciences forensiques de l’Université de Lausanne, ou encore du docteur Sébastien Marcel, chercheur à l’Idiap.
Enfin, les personnes formées peuvent choisir entre trois dates pour le début de leur formation, soit par programme complet soit par module, et sur une durée allant de trois à douze mois. Les participants se doivent d’avoir un niveau de maîtrise de l’Anglais proche de l’excellence. Le coût de la formation est de 6000 CHF soit environ 5540€ pour le programme complet ou de 1300 CHF (environ 1200€) par modules.
Pourquoi la voiture connectée va t-elle devenir incontournable
BiométrieAu fil des années, pour contrer l’augmentation du taux de mortalité sur les routes, des lois ont été mises en place. Renforcement des contrôles effectués, nouveaux radars…, mais malgré une baisse, ce taux reste toujours aussi important. Comment peut-on réduire encore plus le nombre d’accidents ? Pour Safran Identity & Security (Morpho), en partenariat avec Valeo, il faut s’attaquer à l’essence même du fléau : le véhicule.
Safran travaille justement sur ce que l’on appelle des véhicules connectés (Driver Monitoring), qui assurent au conducteur plus de sureté, plus de sécurité, et plus de confort grâce à des technologies embarquées parmi lesquelles on retrouve la biométrie. Il faut savoir qu’en 2018, il y aura 78 millions de voitures connectées produites, ce qui représente plus de la moitié de la production mondiale. Et en 2025, tous les véhicules seront connectés.
D’un point de vue sureté, il faut savoir que la voiture est équipée de plusieurs dispositifs de communication comme le Bluetooth, le GPRS, de plus d’une centaine de micro-processeurs et de près de 75 capteurs ce qui rend donc la voiture attractive pour les hackers, ce qui représente par conséquent un véritable danger pour les conducteurs. De ce fait, les compétences de Safran Identity & Security sont de réels atouts de par leurs technologies de très haute performance afin d’assurer l’authenticité de la chaîne logicielle utilisée dans le véhicule. Il faut d’ailleurs mettre en avant le fait que Safran équipe aujourd’hui des sites sensibles tels que ceux de l’aéronautique ou encore des grands groupes industriels tels que PSA qui a choisi de faire confiance au leader mondial de la sécurité.
Au niveau de la sécurité, le véhicule connecté a donc pour but de réduire le taux de mortalité sur les routes et pour arriver à ses fins, il faut combattre le fléau numéro 1 sur les routes d’Europe : la somnolence. Pour y contribuer, Safran s’appuie sur la biométrie sans contact et plus particulièrement sur la reconnaissance faciale avec le développement d’une solution permettant de mesurer le niveau d’attention du conducteur et ainsi de l’alerter en cas de problème. Le véhicule sera capable également de prévenir les secours grâce aux eSIM qui seront embarquées dans l’habitacle.
Enfin, le confort de l’automobiliste est une des préoccupations des constructeurs. Pour toute la partie réglage (rétroviseurs, position du siège…), la reconnaissance faciale permettra d’identifier le conducteur et ses réglages se feront de manière automatique et instantanée.
A l’heure actuelle, 77% des automobilistes concèdent que la voiture connectée est un progrès en terme de sécurité et 83% considèrent que c’est également un progrès en terme de confort de conduite.
La CNIL plus souple sur le contrôle d’accès biométrique
BiométrieLe 30 Juin 2016, la CNIL, Commission Nationale de l’Informatique des Libertés, s’est accordé à revoir son dispositif d’encadrement concernant la mise en place de systèmes biométriques pour passer dorénavant à deux autorisations uniques contre quatre par le passé.
Dans un premier temps, il est important de rappeler ce qu’est la biométrie. Il s’agit de la mesure des caractéristiques morphologiques uniques propres à chaque individu, telles que les empreintes digitales, l’iris etc. Aujourd’hui, il faut constater que la biométrie est de plus en plus présente dans notre quotidien. On pense bien sûr aux capteurs biométriques sur nos Smartphones (Apple, Samsung…), sur nos ordinateurs (Windows 10 et l’application Hello), ou via des applications (Apple Pay et le paiement sans contact). La CNIL conçoit bien évidemment que l’identification biométrique est un moyen pratique, fiable et sécuriante mais tient tout de même à en maîtriser le déploiement.
Par le passé, la CNIL différenciait les biométries « à traces » comme l’empreinte digitale et les biométries « sans trace » comme la voix, le réseau veineux ou encore la reconnaissance faciale. Par conséquent, de par cette distinction, la CNIL avait adopté quatre autorisations uniques pour encadrer ces technologies biométriques : l’AU-027 (Contrôle d’accès par empreinte digitale via un ordinateur professionnel), l’AU-019 (Réseau veineux), l’AU-008 (Empreinte digitale sur le lieu de travail), l’AU-007 (Contour de la main). Pour résumé, les empreintes ne pouvaient être stockées que sur un support tel que des cartes Mifare ou Desfire. Seuls les lieux à forte exigence en terme de sécurité (ex: centrales nucléaires, chantiers dangereux…) pouvaient se voir accorder une autorisation spécifique pour un stockage des empreintes sur un serveur.
Cependant, dans un contexte où nous sommes sans cesse exposés à des caméras, où nos photos et données privées sont exposées publiquement (ex: Facebook), la CNIL admet que la frontière entre biométrie « à trace » et biométrie « sans trace » est désormais quasi nulle. De ce fait, la CNIL accorde plus de souplesse et met en place deux nouvelles autorisations uniques :
Par conséquent, et en témoignent ces nouvelles mesures, la biométrie arrive à grand pas dans nos vies personnelles et professionnelles. La position plus favorable de la CNIL s’inscrit également dans une démarche internationale, puisque la France est l’un des seuls pays où le recours à la biométrie est encore limité par cette institution. Mais, dans un contexte où diverses menaces pèsent sur notre population, nous n’avons d’autre choix que de nous prémunir au mieux, et la technologie biométrique semble être actuellement l’alternative idéale.
Pour en savoir plus
Qui pour sécuriser notre identité sur Smartphone?
BiométrieLe téléphone est devenu l’objet incontournable du XXIème siècle. Force est de constater que ce dernier n’est plus un simple appareil permettant d’appeler ou d’envoyer des messages mais qu’il est devenu un condensé de plusieurs outils de notre quotidien. Ainsi prendre des photos, filmer, se connecter à Internet, réaliser des achats en ligne sont devenues des tâches banales permises par ce nouveau compagnon. Par ailleurs, en témoignent les multiples applications de paiement en ligne, notre Smartphone s’apparente de plus en plus à un document d’identité.
Il nous permet en effet d’accéder à une multitude de services en ligne où il faut prouver notre identité. L’utilisation d’un identifiant et d’un mot de passe est l’un des moyens d’identification les plus rependus mais depuis quelques années, une nouvelle technologie semble s’imposer, il s’agit de la biométrie. Celle-ci se présente comme le moyen le plus sûr et le plus simple d’utilisation. Les mots de passe ont montré leurs limites, il est devenu trop facile de se les faire dérober… La biométrie semble être en tout point la meilleure alternative pour permettre d’identifier un individu de manière formelle.
Parfois, la nouveauté qui entraîne un changement de nos habitudes fait peur, et la biométrie n’a pas échappé à la règle, mais aujourd’hui cette technologie est rentrée dans les mœurs, elle fait parti de notre quotidien avec nos Smartphones et l’intégration de capteurs biométriques pour déverrouiller l’accès comme on peut le voir sur les iPhone ou les Samsung. On remarque sa présence également dans des lieux où le niveau de sécurité se doit d’être maximal, c’est notamment le cas des aéroports avec la mise en place de technologie biométrique sans contact, en pleine expansion, aux Emirats Arabes Unis avec le MorphoWave de chez Safran Identity & Security (Ex Idemia (ex.Safran Morpho)).
Pour en revenir aux Smartphones, c’est une autre technologie biométrique qui est en plein essor sur ce marché. Il s’agit de la reconnaissance faciale. La moitié de la population est équipée d’un smartphone avec appareil photo ce qui offre la possibilité d’accéder au « selfie-check ». Mais de quoi s’agit-il ? Simplement, un outil permettant de s’authentifier en réalisant un selfie, outil devenu populaire ces derniers mois, pour protéger son identité numérique.
Nous sommes tous amenés à stocker une quantité innombrable d’informations sur nos téléphones ou tablettes, beaucoup plus importantes qu’auparavant, et de ce fait il devient indispensable de renforcer la sécurité de nos transactions, et de protéger notre identité numérique. C’est là que la biométrie fait la différence…
L’université du Maryland met en place le lecteur biométrique Morphowave
BiométrieL’oubli, la perte, le vol de la carte du restau U d’un élève sont des événements qui arrivent de manière régulière dans les établissements scolaires. Pour remédier à ces problèmes, la technologie biométrique peut se présenter comme une belle alternative tant d’un point de vue sécurité que d’un point de vue confort/facilité d’utilisation. Ces arguments sont d’ailleurs certainement à l’origine du choix de l’Université du Maryland.
En effet, cette université a choisi d’installer dans son restaurant universitaire le nouveau système de contrôle d’accès biométrique de chez Safran Identity & Security (Morpho), le MorphoWave. Ce lecteur biométrique est capable de capturer et d’identifier quatre empreintes digitales d’un utilisateur en même temps, à la volée, en moins d’une seconde. Son installation est idéale dans les lieux à fort trafic car avec cette technique d’identification, plus besoin de s’arrêter. Outre cette performance, c’est une solution ultra hygiénique puisqu’il n’y a aucun contact entre les doigts et le capteur biométrique.
Les étudiants du Maryland ont pu s’enrôler au printemps et les nouveaux arrivants durant la période d’été avec quelques difficultés au début, relative au grand nombres d’étudiants, mais le processus est au final un véritable succès. La mise en place fut simple et rapide, avec un temps d’inscription inférieur à une minute par élève. Dorénavant, plus besoin d’utiliser leur carte de cantine pour accéder au réfectoire.
Au final, ce ne sont pas moins de neuf terminaux biométriques qui vont être installés. A l’heure actuelle, ce sont uniquement les étudiants qui vont régulièrement au self qui utiliseront ce système. Leurs cartes seront toujours utilisables pour les divers achats qu’ils peuvent être amenés à effectuer sur le campus universitaire.
Pour terminer, il est important de préciser que l’inscription se fait sur la base du volontariat, les étudiants ne sont pas du tout obligés de se conformer à l’utilisation de la biométrie, mais peuvent, s’ils préfèrent, conserver l’utilisation de leur carte.